Le programme Nutrition and Physical Activity Self-Assessment for Child-Care (NAP SACC) est un outil prometteur pour accroître l’activité physique des tout-petits en garderie, selon une évaluation réalisée par des chercheurs de la Louisiane.

Quatre ans serait l’âge idéal pour commencer à éduquer les enfants sur les aliments sains et malsains ainsi que sur leurs conséquences sur la santé, concluent des chercheurs de l’Université de Dublin en Irlande.

Une étude menée par l'Observatoire régional de santé d'Île-de-France (ORS) a analysé les bénéfices pour la santé de rouler à vélo à Paris et ses environs, en considérant les risques, tels que les accidents ou l’exposition à la pollution.

Le jeu libre et spontané est bon pour la santé, si on considère celle-ci selon une définition plus large qui englobe également le bien-être émotionnel et social des enfants.

Les adolescents n’imitent pas nécessairement leurs parents quand vient le temps de faire de l’activité physique. C’est ce qui ressort d’une étude menée par des chercheurs allemands.

Seulement cinq provinces canadiennes ont choisi de fixer un temps quotidien d’activité physique obligatoire à l’école, rapporte une analyse menée par des chercheures de l’École de santé publique de l’Université de l’Alberta. Et toutes ces politiques diffèrent sur plusieurs points.

Une équipe de chercheurs européens a interrogé 457 jeunes de 14 ans sur leurs activités physiques préférées et les conditions idéales pour les pratiquer.

Coucher son bébé avec une bouteille, l’inciter à terminer son biberon de lait, lui offrir du lait chaque fois qu’il pleure, le nourrir devant la télévision, voilà des habitudes qui mènent à l’obésité.

Des chercheurs canadiens ont tenté d’analyser s’il est possible d’influencer les clients qui fréquentent un centre sportif pour qu'ils choisissent des repas ou des collations santé.

L’Institute for Health Equity de Grande Bretagne vient de publier un rapport recommandant d’améliorer l’accès aux espaces verts pour lutter contre les inégalités de santé.

Des interventions ciblées en vue de favoriser la saine alimentation en milieu rural, tant dans les restaurants que les épiceries, constituent une approche prometteuse, indique une rare étude réalisée sur ce sujet.

Des chercheurs des universités York et Cornell ont constaté que, parmi les adolescents qui fument régulièrement, 46 % des filles et 30 % des garçons le font, entre autres, pour contrôler leur poids.

La consommation de jus de fruits augmenterait l’appétit plutôt que de le satisfaire, conclut une étude expérimentale réalisée en Californie.

Une vaste campagne publicitaire a été mise sur pied dans une région d’Australie pour faire la promotion d’un programme de prévention de l’obésité chez les jeunes et de ses 3 messages : boire de l’eau, faire de l’activité physique et manger plus de fruits et légumes.

Un programme d’activité physique implanté à l’école change les habitudes de vie des jeunes même à la maison et en dehors des heures de classe.

L'étude de l’Agence de Santé publique du Canada, Comportements malsains chez les adolescents canadiens : prévalence, tendances et corrélats, examine et compare la prévalence du tabagisme, de l’obésité et de l’embonpoint, de la sédentarité, d’une mauvaise alimentation et de la

Les adultes de 45 ans et plus qui conduisent une voiture plus de 2 heures chaque jour seraient plus à risque de fumer, de pratiquer peu d’activité physique, de dormir insuffisamment et de souffrir d’obésité.

Pour contrer la baisse de l’activité physique au secondaire, il est impératif d’implanter, le plus tôt possible au primaire, des occasions d’activité physique à l’extérieur des heures de classe, concluent des chercheurs belges.

La présence d’espaces verts tout près des écoles et de verdure dans les cours de récréation est associée à un meilleur développement cognitif des enfants, révèle une première étude du genre.

L’exercice physique régulier améliorerait les résultats scolaires des adolescents à long terme, plus particulièrement ceux des filles en sciences.